Blog

Votez, Votons pour l’Ufologie

Amis et amies ufologues, Vous avez la possibilité d’interpeler officiellement le ministre de la défense française sur le sujet des Ovnis – PANs. Il faut pour cela que la question soit soutenue par un nombre suffisamment important de personnes. Pour voter pour cette question, voici comment procéder : – Télécharger l’application « Agora – Citoyens & Gouv » – Rendez-vous dans l’onglet « Questions citoyennes » en bas de l’écran – Rendez-vous dans le volet « Sécurité & défense » – Cliquez sur le coeur en haut à droite de la question en date de 28 septembre. Relayez l’information sur les réseaux sociaux ! Cordialement, L’administration du forum !

Encounters : Témoins d’un autre type: l’intriguante docusérie sur les OVNIS est sur Netflix

SOURCE: Par JEAN FRANCOIS CLOUTIER 26 septembre, 2023 

Encounters : Témoins d’un autre type

Réalisée par Yon Motskin (“Generation Hustle”) et produite par Amblin Television, Boardwalk Pictures (studio primé aux Emmys) et Vice Studios, Encounters : Témoins d’un autre type est une série phare en quatre épisodes qui parcourt le globe pour raconter quatre histoires aussi vraies qu’extraordinaires de phénomènes d’un autre monde. Chaque épisode parfaitement documenté aborde son propre sujet : d’étranges lumières dans le ciel d’une petite ville du Texas à des vaisseaux spatiaux submersibles qui hantent un village côtier du Pays de Galles, en passant par une rencontre entre des extraterrestres et des écoliers du Zimbabwe et une intelligence non humaine qui perturberait le fonctionnement d’une centrale nucléaire au Japon.

Entre témoignages des principaux concernés – sur les lieux mêmes des événements – et interviews avec de grands scientifiques et des membres du personnel militaire, la série dépasse les frontières de la science pour révéler l’impact profondément humain de ces rencontres sur des vies, des familles et des communautés tout entières. Malgré la diversité géographique, temporelle et culturelle de ces événements, ce documentaire d’investigation hors du temps met en lumière de troublantes similitudes ainsi qu’une étonnante vérité : les rencontres extraterrestres rendent compte d’un phénomène mondial et sont aussi impressionnantes qu’inimaginables.

Ovni-Languedoc, les enquêteurs du ciel qui traquent les phénomènes inexpliqués dans le ciel de la région

L’association, qui organise son congrès annuel ce week-end à Pérols, intervient dès qu’elle est saisie d’un phénomène non identifié. Explications.

C’était le 21 juin dernier. Ce soir-là, vers 00 h 30, une habitante de Montarnaud rentre de Lodève quand, soudain, une immense forme triangulaire survole son véhicule. « Elle dit qu’elle n’avait plus de visibilité, qu’elle ne voyait même plus le ciel », rapporte Vincent Quesnel. Après l’avoir rencontré, il juge que cette dame est « de bonne foi ». Il est donc allé sur le lieu d’observation décrit par la témoin et constate qu’à cet endroit, l’autoroute A750 passe en surplomb. « Mais elle ne l’a pas vue. C’est donc que l’engin volait très bas ».

55 % de cas inexpliqués

Pour Vincent Quesnel, l’un des enquêteurs d’Ovni-Languedoc, c’est le début de nouvelles investigations. Chaque année, l’association reçoit jusqu’à une vingtaine de signalements de particuliers ayant observé un objet volant non identifié. Très sérieusement, par binôme, ces passionnés d’ufologie tentent alors de percer le mystère. « On évalue d’abord la crédibilité du témoignage, puis on va sur le terrain pour prendre des photos, des mesures. On questionne le voisinage, les gendarmes, l’aéroport voisin afin de vérifier s’il y a eu d’autres témoignages. On reprend aussi la météo de ce jour-là, on étudie encore les différents plans de vol ». La dernière enquête a ainsi été vite bouclée. « C’était le train de satellites Starlink ». En revanche, pour l’heure, la forme triangulaire vue entre Lodève et Montarnaud reste « inexpliquée ».

NASA, TRANSPARENCE SUR LE SUJET OVNI ?

Suite à la conférence de la Nasa Jeudi 14 septembre 2023, nous pouvons nous interroger sur la réelle volonté de la NASA concernant un travail de fond permettant d’apporter une réponse en total transparence. La réaction sur la toile va vers un manque de confiance, la majorité des internautes étant très mécontents par une conférence qu’ils qualifient d’inutile. Continuons à suivre les travaux de la NASA en espérant que tout cela soit réellement transparent pour les citoyens.

Source: Sud Ouest

Ovnis : la Nasa veut s’attaquer aux phénomènes aériens non identifiés

La Nasa a annoncé jeudi vouloir s’attaquer de façon scientifique à la question des ovnis, ces phénomènes aériens non identifiés qui suscitent la fascination, mais dont il n’existe aucune preuve qu’ils soient d’origine extraterrestre, selon un nouveau rapport d’experts publié par l’agence spatiale américaine.

Après des mois de travail, ce rapport rédigé par un groupe d’éminents scientifiques et experts en aéronautique a recommandé que la Nasa joue à l’avenir « un rôle prépondérant » dans l’étude des ovnis — rebaptisés « phénomènes anormaux non identifiés » (UAP en anglais).

Dans la foulée, la Nasa a annoncé la création d’un poste de directeur chargé de la recherche sur ces phénomènes. Le nom de la personne occupant ce nouveau rôle n’a toutefois pour le moment pas été révélé, par peur qu’elle subisse un harcèlement, comme cela a été le cas pour les 16 auteurs du rapport.

Ces travaux commandés en juin par la Nasa à un panel indépendant marquent « la première fois que la Nasa prend une mesure concrète pour se pencher sérieusement » sur ces événements inexpliqués, a déclaré lors d’une conférence de presse Bill Nelson, le patron de l’agence spatiale.

Le but est que le débat passe « du terrain du sensationnalisme à celui de la science », a-t-il martelé. « Nous ne savons pas ce que sont ces phénomènes anormaux non identifiés, mais nous allons essayer de trouver. »

Davantage de données nécessaires

La Nasa définit ces phénomènes comme « des événements dans le ciel ne pouvant être scientifiquement identifiés comme un aéronef ou un phénomène naturel connu ».

La plupart des observations étranges, rapportées notamment par des pilotes, « sont explicables », a déclaré jeudi David Spergel, astrophysicien chargé de présider les travaux du groupe d’experts. Elles se révèlent souvent être « des avions, des ballons, des drones, des phénomènes météo », ou encore être liées aux instruments d’observation eux-mêmes, a-t-il dit. Mais certaines restent inexpliquées.

Selon le rapport, cela est en grande partie dû au manque de données précises disponibles pour chaque événement. Les experts plaident donc pour une « campagne de collecte de données rigoureuse ». « L’importance de détecter » ces phénomènes avec « des capteurs multiples et bien calibrés est primordiale », et la Nasa possède en ce domaine une grande « expertise », souligne-t-il.

La Nasa peut par exemple observer si certains phénomènes météorologiques coïncident avec l’observation de ces phénomènes, avance le rapport. Selon certains experts, de nouveaux phénomènes physiques pourraient aussi être découverts, qui expliqueraient certains phénomènes.

Le rapport recommande également que le grand public soit davantage impliqué, par exemple avec le développement d’une application permettant de collecter les enregistrements pris avec des téléphones portables.

La Nasa va travailler à la collecte de davantage de données, y compris via des observations de citoyens et de pilotes, a déclaré jeudi Nicola Fox, administratrice associée en charge de la science à la Nasa. « Nous voulons que les pilotes privés, commerciaux et militaires sachent que s’ils voient quelque chose, il faut qu’ils le disent », a-t-elle dit.

Idées reçues

Le renseignement américain et le Pentagone se sont eux aussi récemment penchés sur la question, qui concerne à la fois la sécurité nationale et celle du trafic aérien.

Le but de ce rapport n’était toutefois pas de passer en revue un par un les événements déjà observés pour tenter de les expliquer, mais de formuler des recommandations sur la façon de les étudier de façon rigoureuse à l’avenir. Les experts, qui préconisent aussi l’utilisation de l’intelligence artificielle pour l’analyse des données, ont uniquement travaillé à partir d’informations publiques (non classées), pour pouvoir en discuter librement.

La Nasa a insisté sur cette volonté de transparence, nécessaire selon elle pour lutter contre les idées reçues liées au mot ovnis (pour « objets volants non identifiés »). En l’état actuel des connaissances, « nous n’avons aucune preuve suggérant » que les phénomènes observés « sont d’origine extraterrestre », a rappelé David Spergel.

Le patron de l’agence spatiale américaine a également voulu dissiper les accusations de dissimulation à l’encontre du gouvernement américain : « quoique nous trouvions, nous le dirons », a-t-il promis.

Et de confier : « Si vous me demandez si je pense qu’il existe de la vie dans un Univers si vaste qu’il est difficile pour moi de le concevoir, ma réponse personnelle est oui. »

Un scientifique avertit qu’une invasion extraterrestre « imminente » signifie qu’un « plan de diplomatie » avec les ET est nécessaire.

John Gertz, auteur d’un nouvel article judicieusement intitulé « Diplomatie interstellaire », affirme que « le contact avec les extraterrestres pourrait être imminent ».

Contrairement à la croyance populaire, l’espace interstellaire – littéralement, l’espace entre les étoiles – n’est pas un espace vide. Il est rempli d’hydrogène et d’hélium et, selon un nombre croissant de scientifiques, de civilisations extraterrestres avancées.

L’un de ces scientifiques est John Gertz, auteur d’un nouvel article intitulé « Interstellar Diplomacy » (Diplomatie interstellaire). M. Gertz participe depuis des années à la communauté de la recherche d’intelligence extraterrestre (SETI) et a écrit quelques articles passionnants pour Scientific American.

Si l’homme n’est pas encore prêt à entreprendre un voyage interstellaire (il lui faudrait des dizaines de milliers d’années pour atteindre l’étoile la plus proche), d’autres civilisations bien plus avancées pourraient l’être. En fait, à l’heure où vous lisez ces lignes, il se pourrait qu’elles soient déjà en route vers nous, fonçant vers la Terre à une vitesse inimaginable. Que ferons-nous si et quand « elles » arriveront ?

Dans cet article, M. Gertz affirme que « le contact avec les extraterrestres est peut-être imminent » et que, pour cette raison, les dirigeants du monde doivent se réunir et élaborer un plan officiel de diplomatie avec la vie extraterrestre intelligente.

« Les nations n’ont pas planifié les conséquences d’une première détection », écrit l’auteur. Notez bien le mot « aftermath », qui désigne les séquelles d’un événement très pénible.

Si l’on en croit Gertz, une visite très désagréable d’une intelligence extraterrestre pourrait se profiler : « Le paradigme classique du SETI a été remis en question par moi-même et par d’autres, qui ont fait valoir que la meilleure stratégie d’ET pour établir un contact serait d’envoyer des sondes physiques dans notre système solaire à cette fin », note-t-il.

Avec l’essor du ChatGPT, il est facile d’imaginer un système ou une forme de vie intelligente beaucoup plus avancé(e), bien plus intelligent(e) que les simples mortels, entrant en contact avec nous – peut-être même en prenant le contrôle de notre planète. Théoriquement, une civilisation technologiquement avancée pourrait déjà connaître la langue anglaise ou les 7 000 langues actuellement utilisées par les humains. Pourquoi auraient-ils intérêt à apprendre nos langues ? Pour faciliter le contact avec les humains, bien sûr.

Selon M. Getz, une « sonde extraterrestre pourrait entamer un dialogue avec la Terre en temps quasi réel, au lieu d’un va-et-vient d’étoile à étoile mesuré en siècles ou en millénaires ». En d’autres termes, nous devrions nous préparer à un premier contact.

Frans von der Dunk, professeur de droit spatial à la faculté de droit de l’université de Nebraska-Lincoln, a déclaré au Daily Express US que la définition de la « diplomatie interstellaire » n’est pas aussi simple qu’on pourrait l’imaginer. « Je ne veux pas être facétieux, mais comme il ne s’agit pas d’un terme ou d’un concept bien établi, il peut signifier tout ce que l’on veut », explique l’universitaire.

Cependant, ajoute-t-il, le mot « diplomatie » « est normalement compris comme un outil de communication entre les États (le terme juridique pour « pays » ou « nations ») afin de protéger les intérêts nationaux et d’éviter autant que possible les conflits internationaux ».

REMERCIEMENT À BAPTISTE FRISCOURT POUR LES LIENS

POUR ROBERT BIGELOW 99,999% DES RESPONSABLES POLITIQUES NE SAVENT RIEN….

VOIR LA VIDÉO DE :
New Thinking Allowed with Jeffrey Mishlove, VERSION SOUS TITRÉE

Le bureau des ovnis du Pentagone envoie des messages énigmatiques sur les « extraterrestres »

Source: THE HILL

La semaine dernière, le nouveau bureau du Pentagone sur les ovnis, le All-domain Anomaly Resolution Office (AARO), a dévoilé son site Web tant attendu . Parmi les graphiques, transcriptions et vidéos précédemment publiés se trouve un nouveau document important décrivant la mission et les objectifs du bureau.

Quelques heures après le lancement du site, des détectives aux yeux d’aigle ont remarqué qu’une image d’un objet sphérique , divisé en quartiers, apparaissait dans les coins du document « Aperçu de la mission ». Une analyse plus approfondie a déterminé qu’il s’agissait d’une photo d’archives intitulée « Technologie extraterrestre dans une boule métallique ».

Même si de telles références aux « extraterrestres » et aux « boules métalliques » pourraient autrement être attribuées à une farce grossière, une analyse plus approfondie suggère qu’il y a plus que ce que l’on voit.

Selon le directeur de l’AARO , Seán Kirkpatrick , les observations les plus courantes revendiquées dans les 800 rapports reçus par son bureau fin mai concernaient des « sphères » de 3 à 13 pieds de diamètre et de couleur « blanche, argentée [ou] translucide ». Deux vidéos et deux images d’objets correspondant à cette description, toutes enregistrées par des militaires américains, ont vu le jour ces dernières années.

Dans une présentation en mai, Kirkpatrick a décrit ces objets déroutants plus en détail tout en présentant des images d’un « orbe sphérique » « métallique » enregistrées par un drone de surveillance au Moyen-Orient.

Faisant référence à l’objet dans la vidéo, Kirkpatrick a déclaré : « C’est un exemple typique de ce que nous voyons le plus. Nous les voyons partout dans le monde et nous les voyons faire des manœuvres apparentes très intéressantes.

Curieusement, des capteurs ont apparemment observé de tels objets se déplaçant à des vitesses allant de l’arrêt à Mach 2, soit deux fois la vitesse du son, sans « aucun échappement thermique détecté ».

Selon Kirkpatrick, cette gamme hautement anormale d’attributs équivaut à un profil d’OVNI – un « ensemble cible » – que l’AARO « recherche ».  

Il est important de noter que de nombreux rapports impliquant des « orbes métalliques » sont basés « en grande partie » sur des « observations multi-capteurs » – la référence en matière de données et de preuves.

Cela soulève une question évidente : comment des objets sphériques, dépourvus d’ailes ou de moyens de propulsion apparents, peuvent-ils rester immobiles face à des vents forts ou se déplacer à la vitesse du son ? D’ailleurs, comment ont-ils pu réaliser des manœuvres aussi remarquables sans émettre la moindre signature thermique ?

Il convient de noter en particulier que les caractéristiques particulières de performance de l’UAP décrites par Kirkpatrick sont identiques à celles décrites par l’ancien pilote de chasse de l’US Navy Ryan Graves , qui a témoigné sous serment lors d’une audience au Congrès le 26 juillet.

Graves, ainsi qu’au moins 50 à 60 aviateurs navals , ont observé quotidiennement des objets sphériques capables de rester stationnaires face à des vents de force ouragan ou de se déplacer à la vitesse du son en 2014 et 2015. De plus, le mystérieux engin est resté en l’air pendant des durées extrêmes. , des avions de combat très résistants.

Les rencontres avec des objets capables d’exécuter des caractéristiques de vol aussi hautement anormales remontent à au moins 80 ans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des équipages américains ont rapporté avoir observé de mystérieuses « boules argentées » et des « sphères de couleur argentée » qui, comme dans des rapports plus récents, apparaissaient parfois « semi-translucides ». Lorsqu’ils étaient observés la nuit, les objets – appelés « foofighters » par les aviateurs des années 1940 – apparaissaient souvent sous la forme de boules rougeoyantes ou oranges ardentes.

Un document transformationnel de l’Air Force de 1947, le Twining Memo , déclare que le « phénomène OVNI signalé est quelque chose de réel et non de visionnaire ou de fictif ». De plus, selon le mémo, les ovnis observés par les aviateurs présentent « des taux de montée, de maniabilité… et d’action extrêmes qui doivent être considérés comme évasifs lorsqu’ils sont aperçus ». Ceci, indique le document, conduit à « la possibilité que certains objets soient contrôlés manuellement, automatiquement ou à distance ».

De manière critique, selon le Twining Memo, les descriptions d’OVNIS les plus courantes incluent des objets « circulaires ou elliptiques » avec une « surface métallique ou réfléchissant la lumière ». À l’instar des descriptions récentes d’objets ronds et métalliques ne démontrant « aucune émission thermique », le document de 1947 note spécifiquement « l’absence de traînée [d’échappement] » sur les objets.

De même, un document de la CIA de 1952 décrit les caractéristiques des OVNIS les plus couramment observées comme des « objets sphériques ou elliptiques, généralement d’un éclat métallique brillant ».

En septembre 1952, l’OTAN mène son premier exercice naval majeur dans l’océan Atlantique. Selon le capitaine Edward Ruppelt – alors directeur du projet Blue Book, l’analyse des ovnis menée par l’US Air Force pendant deux décennies et, finalement, l’ effort de « démystification » – un journaliste embarqué à bord du porte-avions USS Franklin D. Roosevelt « a vu un groupe de pilotes et d’équipage du poste de pilotage observant quelque chose dans le ciel. Il est retourné voir et il y avait une sphère argentée qui se déplaçait dans le ciel.

Le journaliste Wallace Litwin a finalement pris trois photographies de l’objet. Initialement considéré comme un ballon météo, Ruppelt a déclaré que « les renseignements navals ont vérifié deux fois, trois fois et quatre fois chaque navire à proximité du porte-avions, mais ils n’ont trouvé personne qui avait lancé l’OVNI. »

Le lendemain, selon Ruppelt, « six pilotes [britanniques] pilotant une formation de chasseurs à réaction au-dessus de la mer du Nord ont vu… un objet sphérique brillant ».

Comme le raconte Ruppelt, les pilotes « ne pouvaient pas le reconnaître comme quelque chose d’« amical », alors ils s’en sont saisis. Mais au bout d’une minute ou deux, ils l’ont perdu. Lorsqu’ils s’approchèrent de leur base, l’un des pilotes se retourna et vit que l’OVNI le suivait maintenant. Il s’est retourné mais l’OVNI a également tourné, et encore une fois il a dépassé [l’avion] en quelques minutes. »

Puis, le troisième jour consécutif, selon Ruppelt, « un OVNI est apparu près de la flotte ». Un pilote « a été brouillé et a réussi à rapprocher son avion assez près de l’OVNI, suffisamment près pour voir que l’objet était « rond, argenté et blanc » et semblait « tourner autour de son axe vertical et vaciller en quelque sorte ». Mais avant qu’il puisse s’approcher pour bien voir, l’objet avait disparu.

Selon Ruppelt, ces rencontres quotidiennes avec des « objets sphériques » « argentés » « ont amené la [Royal Air Force britannique] à reconnaître officiellement l’OVNI ».

De même, un document de la CIA de décembre 1953 décrit un article d’un journal suédois selon lequel un pilote en chef d’une compagnie aérienne et un ingénieur de vol avaient observé un « objet rond, métallique, symétrique, complètement peu orthodoxe » volant à grande vitesse.

Au-delà de ces récits, Ruppelt a décrit de nombreux cas de rencontres militaires américaines avec de tels objets. Selon « Rupe », les pilotes de chasse servant pendant la guerre de Corée « ont déclaré avoir vu des sphères ou des disques argentés à plusieurs reprises ».

L’extraordinaire cohérence entre ces rencontres d’OVNI – depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui – est remarquable.

Il n’est donc pas surprenant qu’au-delà de l’image de la « technologie extraterrestre dans une boule métallique » subrepticement dissimulée dans un document gouvernemental, le logo du bureau présente bien en évidence une sphère métallique argentée .

Ce qui est peut-être le plus intrigant, c’est que Kirkpatrick a récemment co-écrit un projet d’ article scientifique émettant l’hypothèse qu’un « vaisseau parent » extraterrestre pourrait lâcher « de nombreuses petites sondes » pour « atteindre la Terre ou d’autres planètes du système solaire à des fins d’exploration ».

Marik von Rennenkampff a été analyste au Bureau de la sécurité internationale et de la non-prolifération du Département d’État américain, ainsi que nommée par l’administration Obama au Département américain de la Défense.

UN SITE AMÉRICAIN POUR VOIR DES OVNIs

DÉCÈS DE CALVIN PARKER

Information de Philip Mantle de Flying Disk Press

J’ai le regret de vous annoncer le décès de mon ami Calvin Parker. Comme vous le savez, Calvin était l’un des deux hommes impliqués dans la rencontre extraterrestre de Pascagoula en 1973. L’autre homme qui l’accompagnait cette nuit-là était Charles Hickson, décédé en 2011.

J’ai écrit un article sur Calvin Parker et j’utilise plusieurs lettres inédites qui lui ont été envoyées en 1973. Après avoir publié les deux livres de Calvin, nous sommes devenus des amis très proches et sa femme Waynette ne m’a pas laissé parler de son décès avant la fin de la cérémonie commémorative qui a eu lieu aujourd’hui dans le Mississippi. Calvin est décédé le 24 août à 8h15. Il est mort chez lui, avec sa femme Waynette, sa famille et ses amis à son chevet.

UN SIÈCLE D’ATTERRISSAGE

Catalogue général d’observation de M.O.C au sol de 1868 à 1968

Par Jacques VALLÉE

Vous pouvez connaître la suite des observations dans les numéros suivants de LDLN:

Ainsi que différents numéros de contact lecteurs, que je n’ai pas à disposition.