Elle aurait vu un ovni près d’Alençon : « J’ai peur d’être prise pour une folle »

SOURCE: L’ORNE HEBDO du 31 août 2023, article de Romaric Larue

Une habitante de Bérus (Sarthe) aurait observé dans le ciel, vendredi 18 août, un engin rectangulaire avec deux imposants phares. Pour elle, « ce n’était pas un avion ».

« Ça m’a perturbée, j’y pense tous les jours », martelait-elle encore, quelques jours plus tard.

Dans le Nord-Sarthe, une habitante de Bérus, près d’Alençon, dit avoir observé, vendredi 18 août 2023 en début de soirée, un objet volant non identifié dans le ciel. Pour elle, « ce n’était pas un avion, fuselé » mais « quelque chose » qu’elle n’avait « jamais vu » auparavant.

« J’étais scotchée, je lui ai fait coucou »

Il était 21 h 30, la nuit tombait doucement, quand la retraitée aurait vécu une drôle d’expérience. Elle se trouvait dans son jardin, devant son pavillon, en train de « bricoler ».

« J’enlevais des pissenlits. Tout d’un coup, j’ai levé la tête et j’ai vu arriver un engin au loin. Il volait bas et ne faisait pas de bruit. »

Ce qu’elle décrivait d’abord comme un « ovni » n’était « pas large » et de forme rectangulaire. « Il avait deux gros phares à l’avant, d’une extrême blancheur, qui clignotaient. Et une bande rouge à l’arrière », prétend-elle.

Le phénomène aurait duré quelques minutes.

Il n’allait pas très vite, il glissait dans le ciel. J’étais scotchée, je n’en croyais pas mes yeux. J’avais l’impression que c’était une illumination. J’étais sidérée, je ne savais pas quoi faire. Je lui ai alors fait coucou. Une habitante de Bérus

Un croquis réalisé

Elle a réalisé un croquis de ce qu’elle aurait aperçu. Mais elle n’a pas eu le réflexe d’aller chercher son portable pour prendre une photo.

Pourtant « cartésienne », la Sarthoise était persuadée de ce qu’elle avait vu. « J’étais au bon endroit au bon moment. La science n’explique pas tout, il faut le voir pour le croire. » 

À ce sujet, elle n’osait pas encore en parler à son entourage et son voisinage. « J’ai peur d’être prise pour une folle », craignait la retraitée, qui n’a évoqué cet épisode qu’à un ami et à la gendarmerie de Oisseau-le-Petit.

Contactée, la gendarmerie n’a pas souhaité faire de commentaires.

De précédents cas au pays d’Alençon

Ces dernières années, des témoignages similaires d’habitants du pays d’Alençon ont été recensés par le Geipan. Le Groupe d’études et d’informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés, créé en 2005 par le Centre national d’études spatiales (CNES) français, est chargé de « collecter, d’analyser sommairement et d’archiver les phénomènes aérospatiaux non identifiés mais aussi d’informer le public à leur sujet », peut-on lire sur la page Wikipédia de l’organisme.
Ainsi, quatre cas ont été remontés dans la région : à Alençon (2014), à Lonrai (2012), à Ancinnes (2017) et à Sougé-le-Ganelon (1974). Après enquête, le Geipan a conclu respectivement à une « forte probabilité de canular ou de non-sincérité du témoin », à une « probable observation du vol d’un aéronef non éclairé », à des « observations de trainées d’avion ». Pour le cas de Sougé-le-Ganelon, l’organisme indique ne pas disposer assez d’informations.

Et si c’était un drone ?

La Bérusienne a alors joint L’Orne hebdo pour savoir si d’autres habitants du pays d’Alençon avaient vu la même chose qu’elle durant la soirée du vendredi 18 août.

Selon elle, l’engi n volait en provenance d’Alençon ou d’Arçonnay et se dirigeait vers Le Mans.

Lundi 28 août en fin de journée, la Sarthoise a adressé un mail à la rédaction dans lequel elle précisait : « Avec le recul, j’ai essayé d’analyser ce que j’ai vu. Je me dis qu’il a été fabriqué par l’homme », estime-t-elle.

« Pour moi, c’est un engin de nouvelle génération, peut-être un drone. »

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Un village péruvien est terrorisé par des extraterrestres qui planent au-dessus de la Terre, selon des habitants

Au cours des deux dernières semaines, une petite communauté rurale du district d’Alto Nanay, dans la région de Loreto de la province de Mainas, au Pérou, a subi des attaques de « créatures étranges ».

Les habitants de la ville de San Juan Batista, qui appartiennent à la tribu d’Iquitos, ont rapporté que ces créatures planent dans les airs, à environ un mètre du sol, et qu’elles sont vêtues de ce qui semble être une robe « argentée ».

Ces êtres énigmatiques apparaissent à la tombée de la nuit, ce qui incite de nombreuses personnes à penser qu’ils pourraient être de nature extraterrestre. Les témoins décrivent également les créatures comme possédant une tête particulièrement allongée.

Actuellement je n’ai d’autres informations du fait d’une couverture médiatique très faible, voir même inexistante en France.

Jean-Louis Lagneau, le 10 août 2023

NUMÉRO 452, TOUJOURS DISPONIBLE

Ovnis extraterrestres : malgré les témoignages, les preuves manquent

PUBLIÉ LE 07 AOÛT 2023 À 20H00  MODIFIÉ LE 7 AOÛT 2023PAR FLEUR BROSSEAU, source Science & Vie

Le 26 juillet dernier, David Grusch, ex-officier du renseignement américain, a affirmé devant la sous-commission de la sécurité nationale de la Chambre des représentants chargée de la surveillance, que les autorités détenaient les preuves de l’existence d’une vie extraterrestre. Selon lui, les États-Unis dissimuleraient les restes d’un objet volant non identifié (ovni). Cependant, les preuves manquent pour étayer ses propos, qui selon certains scientifiques, s’avèrent peu crédibles.

Mystérieux Ovnis… Non seulement les États-Unis seraient en possession de débris d’objets volants non humains depuis des décennies, mais auraient également récupéré du « matériel biologique » non humain. David Grusch se considère aujourd’hui comme un lanceur d’alerte. Il a affirmé devant les membres du Congrès qu’il existait un programme secret visant à récupérer les restes d’appareils non identifiés, afin de les étudier par rétro-ingénierie. On a notamment récupéré un engin spatial en forme de cloche dans le nord de l’Italie dans les années 1930.

Il a également déclaré que des restes non-humains avaient été retrouvés et qu’il connaissait des personnes qui avaient été blessées dans le cadre de phénomènes anormaux non-identifiés, rapporte un article du Northeastern Global News. Certes, son témoignage est à la fois fascinant et effrayant. Cependant, Grusch n’a malheureusement fourni aucune preuve à l’appui. Il argue en effet que ces données étaient trop sensibles pour qu’on les partage en public. Ceci remet donc en question la véracité des ses allégations.

Un manque de détails qui suscite le doute

Après avoir lu le résumé de l’audition, Jonathan Blazek, professeur adjoint de physique à l’Université de Northeastern, estime que de par le manque de preuves scientifiques, les témoignages entendus demeurent du domaine de la science-fiction. Il remarque notamment que David Grush a été particulièrement avare de détails, ce qui laisse planer le doute. Il souligne par ailleurs que certains propos sont peu crédibles. L’ex-officier a par exemple évoqué des objets pouvant provenir « d’autres dimensions physiques ».

« Ce qui me surprend le plus, c’est que les législateurs semblent le prendre au sérieux à ce stade. Je suis sûr qu’ils savent des choses que j’ignore », a-t-il déclaré. Le physicien pense que cette audience pourrait faire partie d’« un processus visant à tout révéler au grand jour, afin que la communauté puisse examiner les éléments les plus crédibles ». Bob Spearing partage ce point de vue. Il est directeur des enquêtes internationales pour le Mutual UFO Network (MUFON). C’est une organisation qui enquête sur les cas d’observation d’ovnis qu’on lui signale.

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Mais Spearing évoque également la possibilité d’une manœuvre visant à tromper le public et les pays adverses. « Tant qu’ils n’auront pas présenté de preuves matérielles, la prudence dicte qu’il s’agit d’une campagne de désinformation. Je pense que l’on a orchestré tout cela », a-t-il déclaré. À noter que ce n’est pas la première fois qu’on formule de telles allégations. Depuis 1947, on soupçonne les autorités américaines de détenir du matériel, y compris du matériel biologique, non-humain. La nouveauté, ici, réside dans le fait que l’on a déclaré ceci sous serment – un détail plutôt « révélateur » selon Spearing.

Il se pourrait que de nombreux membres du personnel de l’Armée américaine se retiennent de divulguer des informations cruciales liées aux phénomènes aériens non identifiés (PAN) par crainte de représailles. Le témoignage de Grusch encouragera peut-être d’autres personnes à se manifester. « J’espère que cette révélation constituera un choc ontologique sur le plan sociologique et qu’elle incitera les nations du monde entier à revoir leurs priorités », a déclaré Grusch.

Rien ne permet de soutenir l’hypothèse d’une origine extraterrestre ou d’Ovnis

David Grusch n’est de loin pas la première personne à témoigner de PAN. Les signalements de plusieurs pilotes de l’Armée américaine – vidéos à l’appui pour certains – font état, eux aussi, de mystérieux objets volants. Deux d’entre eux – le commandant David Fravor, aujourd’hui à la retraite, et l’ancien pilote de chasse Ryan Graves, tous deux de l’US Navy – ont également raconté leurs expériences lors de l’audience du 26 juillet.

En 2020, le Pentagone avait déclassifié trois vidéos de phénomènes aériens non identifiés. Ils sont désormais célèbres, filmés par des pilotes de l’US Navy en 2004, 2014 et 2015. David Fravor avait été témoin du phénomène capté en 2004, montrant un engin se déplaçant à très grande vitesse. « Alors que je m’en approchais, il a rapidement accéléré vers le sud et a disparu en moins de deux secondes. C’était extrêmement brusque, comme une balle de ping-pong rebondissant sur un mur. Elle frappait et repartait dans l’autre sens », avait-il relaté à CNN en 2017.

À lire aussi : Ovnis : « ces cas mystérieux restent inexpliqués »

Face au nombre croissant de signalements d’ovnis, le Département de la Défense a mis en place, en juillet 2022, le « All-domain Anomaly Resolution Office » (ou AARO, littéralement le « Bureau de résolution des anomalies de tous domaines »). Il a pour mission d’enquêter sur les ovnis et autres PAN, qui pourraient constituer une menace. Ce nouveau bureau remplace le « Unidentified Aerial Phenomena Task Force » (UAPTF). Sa tâche était de normaliser la collecte et le signalement des observations d’ovnis.

Certes le Pentagone a confirmé l’authenticité des photos et vidéos recueillies par l’UAPTF. Cependant, plus d’une centaine d’objets présentant des schémas de mouvement ou des caractéristiques de vol inhabituels n’ont pu être identifiés. La Pentagone n’a donc jamais reconnu officiellement l’existence de PAN extraterrestres. « Nous n’avons rien vu qui puisse nous amener à croire que les objets que nous avons vus sont d’origine extraterrestre », a déclaré à CNN Ronald Moultrie. Il est sous-secrétaire à la Défense pour le renseignement et la sécurité, en décembre 2022.

Un rapport de la NASA très attendu

Sean Kirkpatrick, directeur de l’AARO, a quant à lui déclaré en avril, lors de la séance publique de la Commission sénatoriale des Forces armées, que son bureau « n’a trouvé jusqu’à présent aucune preuve crédible d’une activité extraterrestre, d’une technologie extraterrestre ou d’objets défiant les lois connues de la physique ». Selon lui, bon nombre de PAN pourraient finalement être des ballons ou des drones, utilisés à des fins autres que la surveillance ou la collecte de renseignements.

Quid des récentes révélations de Grusch ? Ce dernier précise qu’il n’a pas vu personnellement ces restes d’engins extraterrestres mais affirme avoir pu interroger des individus ayant eu une connaissance directe de l’existence d’un tel objet. Aujourd’hui, il se dit prêt à partager ses informations dans un lieu sécurisé, avec des personnes disposant des autorisations de sécurité appropriées. Comme le souligne France Info, cet homme « n’a rien d’un complotiste ou d’un illuminé ». On considère ce vétéran de l’armée de l’air comme un officier irréprochable. Il possédait un sens moral des plus solides et tous ses anciens collègues se portent garants de sa personnalité. Néanmoins, en l’absence de preuves concrètes, le doute demeure.

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Jonathan Grey, officier de l’United States Intelligence Community possède une habilitation Top-Secret. Il travaille actuellement pour le National Air and Space Intelligence Center où il a pour mission principale l’analyse des PAN. Jonathan Grey considère que les États-Unis ne sont sans doute pas les seuls à détenir des restes d’engins non identifiés. « Le phénomène de l’intelligence non humaine est réel. Nous ne sommes pas seuls. Les récupérations de ce genre ne se limitent pas aux États-Unis. Il s’agit d’un phénomène mondial, et pourtant une solution mondiale continue de nous échapper », a-t-il déclaré à The Debrief.

Alors que l’on discréditait les signalements de PAN pendant des décennies, force est de constater qu’on les prend aujourd’hui davantage au sérieux. Le Congrès fait pression pour obtenir des réponses. Dans ce contexte, le rapport d’un groupe indépendant de la NASA, composé de scientifiques de renom et chargé, depuis octobre 2022, d’étudier les origines des phénomènes anormaux non identifiés de toutes sortes, est très attendu. La date de publication a été initialement fixée à la fin du mois de juillet. Le rapport devrait être publié dans les prochains jours.

CONGRÉS OVNI-LANGUEDOC

La vérité est là-bas. Mais ce « lanceur d’alerte » OVNI ne l’a probablement pas.

Par Seth Shostak , astronome senior

Mercredi,  David Grusch, un ancien officier du renseignement militaire, a déclaré à un sous-comité de surveillance de la Chambre  que toutes ces histoires que vous avez lues sur Internet sont vraies : le gouvernement a récupéré des débris provenant de vaisseaux spatiaux extraterrestres écrasés. Il a également déclaré aux législateurs réunis que les équipes fédérales de récupération avaient collecté des restes biologiques de corps extraterrestres.

Grusch, qui se considère comme un lanceur d’alerte, affirme avoir interrogé des dizaines de personnes, dont plusieurs affirment avoir été blessées par des ovnis, désormais officiellement connus sous le nom de phénomènes anormaux non identifiés, ou PAN. Il a également affirmé que le Pentagone travaillait depuis des années pour collecter et étudier les UAP écrasés. C’est une affirmation vraiment extraordinaire, qui demande des preuves extraordinaires.

Mais où sont les preuves ?

C’est MIA. Ni Grusch ni quiconque prétendant avoir connaissance des programmes UAP secrets du gouvernement n’a jamais été en mesure de produire publiquement des photos convaincantes montrant du matériel extraterrestre étalé à travers le paysage. Et rappelez-vous, nous ne parlons pas d’un Cessna qui a labouré un champ de blé. Nous parlons, vraisemblablement, d’une fusée interstellaire extraterrestre, capable de franchir des milliards de kilomètres d’espace, et d’une technologie sportive qui est évidemment extraterrestre.

Les croyants soutiennent que de telles photos existent mais qu’elles sont tenues secrètes. Pour des raisons qui ne sont toujours pas claires, les preuves essentielles qui convaincraient quiconque de la présence extraterrestre dans notre quartier sont classifiées. Il ne peut pas être rendu public. Notez que le témoin vedette de cette semaine, Grusch, a également fait cette affirmation. 

C’est un argument que j’ai longtemps considéré avec scepticisme. La société ne devrait pas accepter (et n’accepte généralement pas) les « découvertes » scientifiques sans aucune preuve. Le remède contre le cancer ne peut pas être classifié. 

S’il y avait vraiment des preuves physiques de visite, des milliers de scientifiques se battraient pour l’étudier. Et le gouvernement voudrait  qu’il  soit étudié. Cela a toujours été un autre gros point de friction dans l’univers de la théorie du complot UAP. Quel est l’intérêt de cacher une technologie extraterrestre dans un hangar du Nevada ? Quel serait le but, à ce stade, d’exclure la communauté scientifique. L’information, la technologie et – surtout – les incitations à la richesse semblent ici écrasantes.

Pour en revenir à la question des preuves visuelles, il y a des milliers de satellites en orbite autour de la Terre. La majorité des caméras sportives visaient vers le bas. Un engin extraterrestre réel dans notre espace aérien plus grand qu’un bureau serait probablement visible par les satellites qui, entre autres, fournissent des images à Google Earth. 

Hypothétiquement, une vaste conspiration pour effacer de telles images  pourrait  exister. Et la population américaine accepte volontiers les explications du complot. Depuis la réponse malhonnête du gouvernement à la découverte en 1947 de débris d’accident près de Roswell, au Nouveau-Mexique, le public a décidé que les autorités fédérales ne diraient jamais la vérité aux civils sur la visite d’extraterrestres. Pas même les morts, comme l’équipage du vaisseau spatial qui aurait fait une crêpe dans le désert cette année-là. 

Cette théorie est même répandue dans les couloirs du Congrès, comme en témoigne le témoignage de cette semaine. Mais je maintiens toujours fermement que la visite extraterrestre n’est pas quelque chose qui pourrait être gardée secrète. La taille d’un tel secret est tout simplement trop grande.  

Néanmoins,  un sondage Gallup de 2021 a montré que plus de 40 % des Américains  pensent que certains ovnis sont des engins spatiaux extraterrestres. Et même le scientifique le plus conservateur ne peut pas affirmer avec rigueur qu’il est impossible pour les extraterrestres de visiter la Terre. Cela ne viole pas la physique d’aller d’une planète à une autre, même si cette planète est en orbite autour d’une autre étoile. Dur, oui. Impossible, non.

Mais admettre que des extraterrestres  pourraient  être ici est loin de prétendre qu’ils  sont  ici. Et qu’ils parviennent tant bien que mal à s’arranger pour qu’ils soient exclusivement accueillis par des fonctionnaires désireux de les cacher.

Et pourquoi est-ce que les extraterrestres semblent au moins régler invariablement leur  matériel de navigation pour  visiter l’Amérique  et  non un autre pays  qui pourrait ne pas ressentir le besoin de garder ces visiteurs secrets ? Il y a une sorte d’orgueil national qui opère ici : si des êtres extraterrestres vont venir sur Terre, ils vont nous rendre visite !

Alors, les extraterrestres sont-ils arrivés ? Du point de vue de la science, il n’y a toujours pas de bonne preuve pour cela, seulement un « argument d’autorité ». David Grusch dit qu’ils sont ici. Mais soit il ne peut pas le prouver, soit il ne le fera pas. Jusqu’à ce qu’il le fasse, nous devrions considérer ses histoires comme n’étant que cela : des histoires.

Cet article a été initialement publié sur www.msnbc.com . 

Le point de vue des Américains sur l’explication des ovnis. Nous avons une question sur les objets volants non identifiés, également connus sous le nom d’ovnis. Qu’est-ce qui se rapproche le plus de votre point de vue — [certains OVNIS ont été des engins spatiaux extraterrestres visitant la Terre depuis d’autres planètes ou galaxies, (ou) toutes les observations d’OVNI peuvent être expliquées par l’activité humaine sur Terre ou un phénomène naturel] ?

 1-14 août 20196-21 juillet 2021Changement
 %%pct. pts.
Certains ont été des vaisseaux spatiaux extraterrestres3341+8
Le tout expliqué par l’activité humaine/phénomène naturel6050-dix
Pas d’opinion79+2
GALLUP

CONGRÈS ECHO EVENT

ECHO EVENT : Des experts dévoilent leurs découvertes

— Samedi 4 & Dimanche 5 Novembre 2023 —
Paris La Sorbonne Université

Événement Ouvert Au Grand Public Et Aux Professionnels

Le CONGRÈS ECHO fera le point sur les actualités du phénomène OVNI. L’événement se déroulera à Paris et rassemblera des intervenants sélectionnés pour des thématiques spécifiques.

Ces intervenants s’exprimeront lors de conférences, tables rondes et visioconférences (interventions diffusées en plusieurs langues).
L’événement ouvert au public, rassemblera également des journalistes, des directeurs et rédacteurs de presse (nationaux et internationaux).

Thématique Des Conférences

Christopher Mellon : PAN et hypothèses extraterrestres
Luc Dini : Phénomènes aérospatiaux non identifiés : références et observations physiques
Fabrice Bonvin : Du debunking à la divulgation : retour sur 70 ans de présence exogène » (la commission Robertson a eu lieu en 1953).
Philippe Guillemant : Hypothèses sur la technologie des PANs
Avi Loeb : Le projet Galileo : A la recherche d’objets technologiques interstellaires
Table ronde : avec la participation de Christopher Mellon, Vinnie Adams , Jacques Vallée, Luc Dini, International TBC etc.

Jacques Vallée : Le phénomène OVNI : un réel sujet scientifique.
Eric Zurcher : Les rencontres rapprochées, une forme de méta langage ?
Table ronde : avec la participation de Jack Krine, Christian Van Heijst, Jacques Vallée, Michael Vaillant, Luc Dini, Sarah Witeneim, Nagib Kary, etc.
Dominique Filhol : Projection des 15 premières minutes du film « Valensole » et débat entre Jacques Vallée et le réalisateur

PRÉSENTATION DES INTERVENANTS:

Avi Loeb (Us)

Physicien théoricien,
astrophysicien

Christopher Mellon (Us)

Ancien Secrétaire adjoint à la Défense

Luc Dini (Fr)

Ingénieur En Constructions Aéronautiques / Membre Émérite 3AF- Président De 3AF SIGMA2

Eric Zurcher (Fr)

Historien, auteur & ufologue

Fabrice Bonvin (Swz)

Auteur & ufologue

Jack Krine (Fr)

Ancien Pilote De Chasse Dans L’Armée De L’Air Française

Jacques Vallée (Us – Fr)

Astrophysicien, auteur

Jacques F. Vallée, est le fondateur de Documatica Financial à Silicon Valley. Scientifique franco-américain avec une formation en astrophysique et en IA…

Philippe Guillemant (Fr)

Ingénieur & physicien au CNRS

Diplômé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe, il est Docteur en Physique et « Habilité à Diriger des Recherches ». Il exerce son activité au CNRS…

Michael Vaillant (Fr)

Consultant Sur Les PANs

Consultant Français spécialisé dans l’investigation des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés (PAN), passionné d’Innovation et de futur, Expert en systèmes d’information…

Nagib Kary (Fr)

Conférencier & cofondateur de Vertical Project Media

Cofondateur de Vertical Project Média en 2018, il a organisé de nombreux événements et colloques dans la région lyonnaise sur des thèmes relatifs à la conscience, la physique quantique et la spiritualité. il a interviewé dans le cadre de ses recherches de nom- breuses personnalités (astronautes, chef du renseignement, auteurs de best-sellers, etc.).

Vinnie Adams (Uk)

Chercheur & Animateur De Podcast

Vinnie Adams étudie le sujet des OVNI/UAP depuis plus d’une décennie. En 2020, il a lancé Disclosure Team, un média social qui diffuse les dernières nouvelles, des photos d’OVNI/UAP…

Christiaan Van Heijst (Pb)

Capitaine De Boeing 747

Capitaine de Boeing 747 et photographe professionnel, spécialisé dans la photographie aérienne, il a documenté diverses observations expliquées et inexpliquées…

Dominique Filhol (Fr)

Auteur, scénariste et réalisateur

Dominique Filhol est un réalisateur français. Il écrit ses propres scénarios inspirés de cette recherche et réalise des documentaires d’enquête sur des phénomènes inexpliqués.

LA REVUE LDLN SERA PRÉSENTE LORS DU CONGRÈS ET NOUS POURRONS AINSI NOUS RENCONTRER…

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À l’ouest de Rennes, des survols de drones inquiètent les propriétaires de chevaux

Information reçu par OVNI ANJOU, article provenant du journal Ouest France publié le 21 septembre 2020

Re post: À Talensac, à l’ouest de Rennes, c’est l’inquiétude pour des propriétaires de chevaux qui subissent depuis plus d’une semaine, tous les soirs vers 21 h, le survol de leur propriété par des drones.Alertée par les propriétaires d’une ferme talensacoise, Virginie Richard, adjointe en charge du cadre de vie et de l’environnement à Talensac, commune à l’ouest de Rennes, s’inquiète de cette situation préoccupante.« J’ai rencontré une habitante vendredi en mairie car sa famille fait face à une situation inhabituelle. Ils sont propriétaires d’une ferme. Tous les soirs à partir de 21 h une dizaine de drones de tailles plus ou moins importantes survolent la propriété et particulièrement les chevaux, jusqu’à 4 mètres environ au-dessus d’eux, explique l’élue. L’actualité inquiète bien sûr les propriétaires qui ont mis en place une surveillance de nuit pour protéger leurs chevaux ».Interdits de survol la nuit« Nous nous sommes renseignés auprès d’un professionnel qui nous a donné quelques éléments sur la réglementation de l’utilisation des drones. Les drones sont interdits de survol la nuit. Ils ne sont pas autorisés non plus à survoler les habitations. Le drone doit être vu en permanence par l’utilisateur. À plus de 150 mètres de hauteur en utilisation, le pilote doit avoir une licence ainsi qu’une autorisation de survol délivrée par l’aviation civile », ajoute l’élue.La gendarmerie alertéeIl semblerait que ces drones soient pilotés par des professionnels manœuvrant par gestion informatique, « il ne s’agit pas de drones d’amateurs car, a priori, ils sont guidés par un système informatisé ».Considérant comme anormal le nombre important de ces drones qui survolent la propriété, la famille a également alerté la gendarmerie qui est venue constater deux soirs de suite la présence des engins volants qui stationnent au-dessus de la propriété pendant plusieurs minutes.« Ils ressemblent à des ovnis »« Un drone particulièrement gros, accompagné d’autres plus petits, stationne au-dessus des boxes et des chevaux. La semaine dernière, nous en avons vu entre 8 et 10. Nous ne connaissons pas la raison de leur présence et cela nous inquiète. Nous avons informé de la situation sur le groupe Facebook d’alerte équine. Nous avons photographié les drones, ils ressemblent à des ovnis ! Aujourd’hui nous ne sommes toujours pas rassurés sur leur origine », témoigne la propriétaire des chevaux.« Selon la gendarmerie, des cas similaires ont déjà été observés dans les communes environnantes, notamment de Bréal-sous-Montfort, Goven ou encore Baulon. La difficulté pour les autorités est de pouvoir localiser le pilote qui peut guider son drone sur plusieurs kilomètres alentour. »