Angel Grazioli continueà animer le groupe Orion, qui a déjà réalisé de nombreuses enquêtes, principalement dans le Languedoc, mais parfois ailleurs. C’est ainsi qu’il nous expose cette fois-ci une observation faite dans l’Isère, il y a trente ans, par M. Jean-Gabriel Vallier. On peut contacter Angel Grazioli et le groupe Orion, soit en écrivant à l’adresse suivante: 18, place de la Clairette, 34500 Béziers, soit en téléphonant au 08 71 23 45 64, soit envoyant un e.mail à: agorion@wanadoo.fr ou encore un fax au (33) 04 67 30 73 14.
Voici le témoignage (rédigé le 24 août 2007) d’une observation remontant à l’année 1978. Point d’observation: le 4 avenue de Belledonne, 38700 Corenc. Cette localité jouxte la limite nord de Grenoble, au pied du Massif de la Chartreuse.
« Je regagnais ma chambre après avoir regardé un film à la télévision. Il était donc probablement plus de 22h00. La pièce était plongée dans l’obscurité (il faisait nuit noire, et je n’ai pas allumé la lumière en entrant); je suis allé à la fenêtre. J’ai regardé dehors (la vue donne sur le sud-ouest, direction le massif du Vercors). J’ai tout de suite remarqué une sphère dans le ciel, un rouge très vif, mais qui en même temps ne semblait pas éclairer autour. Je me souviens d’un alignement de points jaunes dans le diamètre de la sphère. J’ai toujours utilisé le terme de « hublots » pour décrire ce détail. Cette couleur jaune tranchait par rapport au rouge de l’appareil.
il me semble que l’engin était au moins aussi gros que la pleine lune. Peut-être même plus gros, mais ma mémoire peut me jouer des tours. Ce qui est sûr, c’est que l’appareil était immobile. Je l’ai observé plusieurs secondes. Je ne peux pas dire combien de temps je l’ai observé immobile, mais cela n’a pas été très long: entre 5 et 10 secondes, pour donner un ordre de grandeur, mais pas plus, c’est sûr.
j’ai été impressionné, car l’observation était très nette, les contours de l’appareil étaient très délimités. Puis cet appareil a disparu. Non pas disparu sur place, mais je me souviens qu’il s’est déplacé à grande vitesse et qu’il a disparu derrière le mont Rachais (1080 m d’altitude). Il a donc eu une trajectoire en direction du nord-ouest. J’ai été très frappé par cette vitesse, puisque d’une station immobile, il a pris une grande vitesse instantanément. Il serait possible, avec une carte, de calculer la distance parcourue. Je me souviens bien de ce déplacement fulgurant. Quand j’y repense, c’est ce qui m’a le plus impressionné. J’ai vu l’appareil franchir la vallée et disparaître, peut-être en une ou deux secondes; cela m’a beaucoup frappé, car c’était presque instantané. je suis descendu précipitamment pour le dire à mon père. Nous avons regardé un bon moment, mais nous n’avons rien vu. Mon père m’a conseillé d’aller me coucher. Je me souviens d’avoir été quelque peu dépité, de susciter aussi peu d’enthousiasme.
Angel Grazioli, LDLN numéro 390, page 35.